Ndiawar Ndiaye
Dernière minute-A 24 heures du dialogue national, les partisans de Sonko annoncent une décision radicale
Ce mercredi 31 mai 2022, nous, élus (députés, conseillers…) irons prendre Ousmane Sonko chez lui à la cité Kër Gorgi pour aller au dialogue du peuple organisé par le F24 aux parcelles assainies. Ousmane Sonko n’ira pas au dialogue du président sortant Macky Sall qui tente de voler un mandat électoral mais participera au dialogue du peuple du F24. Sa délégation sera constituée des élus que nous sommes.

Bounkiling : Un responsable politique accuse Guy Marius Sagna de recruter des nervis
« De sources concordantes, Guy Marius Sagna, agissant sous les ordres d’Ousmane Sonko, a recruté de nervis venant des zones comme Ziguinchor, Bignona, Diouloulou, Sindian, Bessir, voire la Guinée-Bissau, pour venir semer le trouble dans la capitale ».
Ces accusations sont de Wandifa Dramé, responsable politique dans la commune de Bounkiling (région de Sedhiou). Il explique que « Guy Marius Sagna est un homme dangereux qui use de la haine et de la manipulation comme armes de guerre politique. Il ne mérite pas son titre d’honorable député. Il doit être jugé devant une chambre criminelle pour les nombreux actes qu’il pose quotidiennement contre les intérêts de notre pays », a déclaré Wandifa Dramé. Et de lancer un appel aux responsables de Benno Bokk Yaakaar pour qu’ils prennent toutes leurs responsabilités afin de faire face à « ces pyromanes d’un autre âge qui ne sont mus que par des intérêts crypto-personnels et ainsi sécuriser leurs familles et leurs biens ».
Wandifa Dramé a adressé ses félicitations aux forces de défense et de sécurité qui ont su faire preuve de beaucoup de professionnalisme pour contenir la situation. Il a aussi exprimé sa compassion à l’égard des autorités qui ont vu leurs biens détruits lors de ces événements malheureux de lundi dernier.
Dernière minute-Dialogue national : Le parti de Pape Djibril Fall prend position
« Le Parti LES SERVITEURS a reçu ce dimanche 28 mai 2023 par les services de la Direction Générale des Elections (DGE) un carton d’invitation du Président de la République, Monsieur Macky SALL invitant, l’Honorable Député, le Président Papa Djibril FALL, à la cérémonie de lancement du Dialogue national, prévue ce mercredi 31 mai à 16H.Le Parti LES SERVITEURS, ancré dans ses principes et positions, a pris acte de cette invitation et a adressé une lettre de demande d’informations à la DGE pour énumérer clairement les principaux points de discussion ainsi que les termes préliminaires de ce dialogue, à défaut de termes de références (TDR). Jusque-là, cette requête du parti est demeurée sans suite.
Considérant que les conditions d’un dialogue « sincère » ne sont pas réunies, en l’absence de TDR, et des équivoques sur l’objet de la rencontre, le parti LES SERVITEURS décline, avec toute la courtoisie républicaine qui sied, l’invitation au Dialogue national.
Le Parti LES SERVITEURS reconnait que le dialogue, est une vielle tradition sénégalaise qui fait partie de la culture et de notre identité démocratique. C’est la raison pour laquelle il ne saurait être utilisé pour légitimer des pratiques de régression démocratique.Toutefois, pour la pacification l’espace politico-social en vue d’élections libres, transparentes, démocratiques, le Parti LES SERVITEURS invite le Président de la République à :
– Renoncer au projet qui lui est prêté, à tort ou à raison, de briguer le suffrage des Sénégalais par une troisième candidature, qui, au-delà de ternir l’image de notre démocratie ne fait qu’entretenir une véritable tension socio-politique ;
– Cesser les violations systématiques des droits et libertés d’honnêtes citoyens surtout des journalistes dans l’exercice de leur fonction ;
– Libérer les détenus interpellés lors des manifestations et ceux poursuivis pour des délits d’opinion ; – Procéder à la révision par voie parlementaire des dispositions des articles L29, L30 et L57 du Code électoral et de cesser le recours aux artifices politico-judiciaires pour éliminer de potentiels candidats à la prochaine élection ;
– Nommer une personnalité consensuelle, à l’image de l’ancien médiateur de la République, le professeur Serigne DIOP, pour l’organisation de la prochaine élection présidentielle garant d’un processus électoral transparent et crédible.
– De désigner une personnalité religieuse à l’image de Cheikh Mahi Ibrahima NIASS au regard de sa médiation réussie au Soudan, comme médiateur pour un Dialogue sincère et inclusif ou une Assise pour la préservation de la paix et la stabilité sociale. »
Fait à Dakar, le 29 mai 2023 Le Bureau Politique
DIC : Voici la raison de l’arrestation de Falla Fleur de Pastef
L’étau se resserre autour de la militante de Pastef Falla Fleur, qui a été arrêtée ce mardi par la Division des investigations criminelles (DIC). Ndèye Fatou Fall, à l’état civil, est actuellement en garde à vue pour appel à l’insurrection, selon les informations de Seneweb.
Cette juriste de formation, très suivie sur le réseau social Facebook, est accusée d’avoir fait des posts pour inciter à la violence.
C’est ainsi que le procureur de la République a saisi le chef de la DIC pour l’ouverture d’une enquête. Les hommes du commissaire Adramé Sarr n’ont pas perdu de temps pour cueillir Falla Fleur. Elle a été arrêtée dans son lieu de travail, à Dakarnave. Elle pourrait être déférée ce mercredi, selon nos sources.
Déclaration inattendue – Barthélémy Dias : « Demain, je ne participerai pas au Dialogue national »
A moins de 24h du lancement du Dialogue national, le maire de la ville de Dakar, Barthélémy Dias, a surpris son monde: « Je n’irai pas au Dialogue national demain (ce jeudi) ». Car, « il m’est revenu que c’est dans deux jours qu’on va définir les termes de référence », a-t-il expliqué sur la 7tv.
Le responsable de « Taxawu Sénégal » a posé ses 5 conditions pour éventuellement prendre part à ces concertations.
« Si la question du troisième mandat qui est prêtée à Macky Sall n’est pas inscrite dans les termes de référence, je n’irai pas à ces concertations’ », a-t-il déclaré. Et d’ajouter: « Avec tout le respect que je dois au chef de l’Etat, je n’y participerais pas. Je constaterais dans ce cas que ce n’est pas sincère ».Selon lui, « on peut discuter de la participation de tous les autres candidats parce que la constitution lui permet d’organiser des élections et non des sélections ».
Les trois autres points, aux yeux de Barthélémy Dias, sont « le parrainage, le fichier électoral et les cartes d’électeur ».Toutefois, a-t-il fait remarquer, « je ne vois pas d’objectivité, ni de sérieux ».
Le maire de Dakar a, en outre, pensé qu’il faut, au cours de ce dialogue, « que le président Macky Sall accepte de parler des 400 détenus politiques ».
Il a, par ailleurs, taclé les membres de Yewwi Askan Wi, coalition qu’il considère comme un « mouvement de soutien » à Ousmane Sonko.
Les téléphones de Sonko parlent : les graves révélations du journal «Le Quotidien»
D’après Le Quotidien, le déchiffrement des comptes WhatsApp, Telegram et Signal du Patriote en chef auraient trahi ses connexions dans le gouvernement, au niveau d’autres cercles du pouvoir et dans l’univers des médias locaux.
En plus, affirme la même source, «le traçage des messages chiffrés (WhatsApp) dans les quatre appareils indiquent que les soutiens au ‘Projet’ du chef du parti Pastef dans le maquis de la Casamance étaient loin d’être juste une vue de l’esprit de certains éditorialistes ou de politiques en manque de sensation».
Le titre du groupe Avenir communication rapporte que des ministres sont concernés. Il signale que certaines personnalités «épinglées» «cherchaient depuis hier à se rapprocher des enquêteurs pour essayer de voir dans quelle mesure les téléphones saisis les auraient impliqués».
Les professionnels des médias proches de Sonko, mais qui n’ont jamais affiché ce lien contrairement à d’autres, auraient été «débusqués» grâce aux comptes Wave et Orange Money de ce dernier. «Certains journalistes se faisaient à la limite entretenir par Ousmane Sonko», clame Le Quotidien, qui évoque des «versements réguliers de sommes plus ou moins importantes à ces agents des médias».
Me Juan Branco : « Ce qui se passe au Sénégal est extraordinairement grave »
Nous prenons le chemin d’une guerre civile, de l’exil et de la misère qui se répandront comme la poudre dans la région, et nous reviendront.
Mes confrères ont été gazés aujourd’hui alors qu’ils s’approchaient de leur client.
Des centaines de personnes sont arrêtées, des manifestants sont abattus de tirs en pleine tête et poitrine, les rues de Dakar se remplissent de nervis armés, masqués, convoyés par des voitures sans immatriculation.
Où va Macky Sall ? Où va le pouvoir ?
Abdou Karim Fofana sur Ousmane Sonko : “Que le Tout-Puissant l’aide à soigner sa mythomanie”
“Que le Tout-Puissant l’aide à soigner sa mythomanie”. C’est la prière pour le moins ironique formulée par Abdou Karim Fofana à l’endroit de Ousmane Sonko, ce mardi sur Twitter.
“Entre Ousmane Sonko et le mensonge, décidément pas de rupture possible, a commenté le porte-parole du gouvernement. Il a annoncé sa marche sur Dakar malgré les morts et les pertes économiques causés par ses appels irresponsables à l’insurrection, l’Etat dans sa fermeté habituelle l’a contraint à rentrer à son domicile pour faire cesser les troubles à l’ordre public dont il est à l’origine. Malheureusement, il adapte toujours son discours pour essayer de montrer qu’il n’a pas subi la fermeté de l’Etat et que son retour à Dakar est le fait de sa propre volonté….Honneur et respect à nos Forces de Défense et de sécurité”.
Le ministre du Commerce réagissait ainsi à la sortie hier de Ousmane Sonko, qui est revenu sur les circonstances de son retour forcé à Dakar.
Présence des forces de l’ordre chez Ousmane Sonko : Antoine Diome s’explique
Interrogé sur les forces de l’ordre autour du domicile du leader de Pastef, Ousmane Sonko, le ministre de l’Intérieur, Antoine Diome, a estimé qu’on ne peut pas parler en l’occurrence de blocus. « C’est une question d’ordre public et de sécurité nationale. On reviendra avec des détails pour expliquer plus. Il ne s’agit pas de bloquer la maison de qui que ce soit, mais juste de rétablir et maintenir l’ordre public », explique le Ministre.
Dans une déclaration, hier, Ousmane Sonko s’est dit « séquestré » par les forces de sécurité. « Au nom de quoi, dans un pays qui se dit démocratique, on peut séquestrer un citoyen qui n’a de tort que d’être un opposant ferme et farouche au régime du président Macky Sall, sans aucun soubassement judiciaire », a-t-il demandé.
Mbour : Le lutteur Ada Fass condamné à une lourde peine
Le lutteur Adama Corréa, plus connu sous le pseudonyme Ada Fass, et son co-accusé El Hadji Ada Ndiaye ont été condamnés à 2 ans de prison dont 1 purgé.
Ils doivent également payer solidairement au plaignant Ndiaga Ndir Ndoye 1,5 million de francs CFA.
Le lutteur à la barre nie toute implication dans l’agression
Les procureurs ne croient pas que la lutteuse Ada Fass était impliquée, préférant se référer aux rapports d’enquête.
Le tribunal a finalement condamné Adama Fass et son complice Adama Ndiaye à deux ans de prison, dont un an de prison.
Sadio Mané a-t-il trouvé l’amour ? De nouveaux clichés du joueur dévoilés (photos)
Sadio Mané est un joueur de football au talent confirmé, un secret de polichinelle. Sadio Mané a-t-il une petite amie ? Un mystère absolu. L’attaquant sénégalais n’est pas du genre à s’épancher sur sa vie privée.
Et pourtant, certains internautes scrutent les moindres gestes du Sénégalais à ce sujet. En effet, de nouvelles photos de Sadio Mané font le tour du web et attisent la curiosité de plusieurs internautes. On y voit le joueur du Bayern Munich en compagnie d’une jeune femme.
Sur la première photo, on peut penser que le joueur sénégalais lui passe la main autour du cou. Mais cela peut également rester un geste purement amical. Sourire aux lèvres, le « Nanthio » semble en tout cas apprécier le moment.
Sur l’autre photo partagée, en revanche, des doutes peuvent subsister. Et si cette fille n’était en réalité qu’un membre de l’équipe de New Balance, sponsor de Sadio Mané ? C’est également une possibilité, surtout lorsque l’on sait que les équipes qui s’occupent de l’image d’une égérie sont souvent constituées de femmes. Quoi qu’il en soit, ces nouveaux clichés amusent les followers du lion de la Teranga, sans doute impatients de le voir afficher sa chérie aux yeux du monde.


Verdict du 1er juin : La déclaration de Farba Ngom met le feu chez les partisans de Sonko (vidéo)
Farba Ngom est-il dans le secret des dieux ? Le député de la mouvance présidentielle sait, semble-t-il, ce qui sera décidé ce jeudi 1er juin 2023, date du verdict attendu dans l’affaire Sweet Beauty.
« Le verdict sera rendu ce jeudi, nous sommes prêts pour cela. Il y a des choses qu’on ne peut pas révéler publiquement. Ce « gatsa-gatsa » (œil pour œil), c’est l’État », lance-t-il. Suffisant pour que les partisans de Ousmane Sonko y voient une condamnation déjà orchestrée envers leur leader. Sur Twitter, notamment, des milliers d’entre eux s’en offusquent.
Manif’ du 29 mai : Baïdy Ndao de Senego touché par un projectile, des reporters de Sénégal 7 pris à partie par des FDS
Des professionnels de l’information encore ciblés par les Forces de défense et de sécurité (FDS). « Dans le cadre de son monitoring de ce 29 mai noté que des FDS ont «touché par un projectile tiré presque à bout portant un Cameraman de Senego et pris à partie des jeunes reporters de Sénégal 7, priés d’arrêter leur direct par des éléments de la sécurité publique alors qu’ils pensaient faire face à une vérification d’identité professionnelle », ont indiqué Bamba Kassé et Cie.
Sur ce, le Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal (SYNPICS) dénonce ces violations flagrantes de la liberté d’informer et en appelle au respect par les FDS des droits des journalistes sur le terrain de la collecte. « La presse s’organise de plus en plus, pour lors d’événements du genre, se regrouper et veiller à ne pas être infiltrée par des « liveurs » et « youtubeurs » non professionnels. La situation des journalistes et reporters positionnés derrière les FDS qu’on a constatée dans l’après-midi, est la norme que les médias sur le terrain doivent cultiver », signale-t-il dans le texte publié sur Facebook.Par ailleurs, Bamba Kassé et Cie encouragent les journalistes et techniciens sur le terrain à privilégier les déplacements en groupe, leurs cartes de presse bien visibles et les gilets presse en évidence.
« Séquestration » de Sonko » : Voici ce que demande l’Ong Waraba d’Afrique aux organismes nationaux et internationaux
L’internationalisation de l’affaire de l’opposant sénégalais, Ousmane Sonko se poursuit. Ce lundi 29 mai, l’Ong Waraba d’Afrique a fait une déclaration relative à la « séquestration de l’homme politique et leader du parti pastef-les patriotes ». Elle a condamné «avec la dernière énergie cette grave violation des droits humains et demande aux autorités sénégalaises de remettre Ousmane Sonko dans ses droits tout en lui permettant de jouir de ses droits fondamentaux ». Ce faisant, l’Ong en appelle aux organismes nationaux et internationaux de défense des droits humains à souscrire à la requête introduite par les avocats de la défense auprès de la Commission des Droits de l’homme des Nations-Unies en raison de violations répétées par le Sénégal des Conventions, chartes et tous les traités internationaux ratifiés relatifs aux respects et à la promotion des droit humains.
Me Saïd Larifou et Cie qui regrettent l’arrestation de Sonko alors qu’il dirigeait ‘’la caravane de la Liberté’’, soutiennent que «cette mise en résidence surveillée de fait, donc illégale, opérée par des éléments des forces de sécurité sénégalaises empêche le maire de Ziguinchor d’exercer ses activités publiques et politiques alors qu’il est candidat déclaré à l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal ».« L’impressionnant dispositif de sécurité dressé depuis plusieurs mois, sans la moindre base légale ni autorisation judiciaire, dans le quartier où habite Sonko est une forme de persécution … »Waraba d’Afrique en partenariat avec le Mouvement pour la Sauvegarde des Droits Humains (M.S.D.H) et les comités de soutien à Sonko, Section Océan Indien et Afrique de l’Est appellent au respect absolu des dispositions des articles 9 et 13 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme en ce qu’elles exigent le respect des droits fondamentaux d’un citoyen quelconque à plus forte raison un homme politique, leader de l’opposition et candidat déclaré à une élection présidentielle. « L’Article 9 de la Déclaration susvisée rappelle que « Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ni exilé» et que l’Article 13 dispose que «Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l’intérieur d’un État. Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays. »
«L’impressionnant dispositif de sécurité dressé depuis plusieurs mois, sans la moindre base légale ni autorisation judiciaire, dans le quartier où habite Sonko est une forme de persécution policière qui porte gravement atteinte à sa santé et à ses libertés en ce sens que le blocage des rues adjacentes le contraint , de fait , à rester en permanence chez lui et à ses proches et avocats à lui rendre visite », ont fait remarquer les signataires.
Les nouvelles révélations de Pape Alé Niang : « C’est pourquoi la France a peur de Sonko.. »
Pape Alé Niang accuse la France. Le journaliste avance notamment que le pays d’Emmanuel Macron a peur d’Ousmane Sonko. La raison, ce dernier incarne tout ce qui pourrait les affaiblir au Sénégal.
Selon le journaliste, « Paris ne peut ABSOLUMENT PAS se résoudre à perdre le Sénégal, après avoir fait son deuil du Mali, du Burkina, du Rwanda (depuis longtemps) et de la Centrafrique (pour la Guinée, c’est un peu plus complexe) ».
« Au-delà du danger que représenterait l’élection de Sonko pour ses énormes intérêts économiques et stratégiques, pour la symbolique culturelle française, le Sénégal, c’est Senghor, Blaise Diagne, le siège de l’AOF, la BCEAO et son Franc CFA, le port d’entrée de sa pénétration et de sa domination continentale, la ville de Saint Louis et son Pont Faidherbe », avance-t-il.
Pour Pape Alé Niang, « tout ceci fait du Sénégalais l’aliéné préféré de son maître français. C’est ce combat que mène Sonko qui dérange au plus haut sommet de l’establishment français. Raison pour laquelle le gouvernement français garde le silence sur toutes les violations de ses droits les plus élémentaires dans un régime démocratique… ».
Ina lilahi wa ina ileyhi rajah’on :Le Journaliste Abdoulaye Diaw en deuil
Ousseynou Claude Diaw, fils du journaliste Abdoulaye Diaw de la Rfm a tiré sa révérence, a-t-on appris à Rfm.
Le décès est survenu dimanche en début de soirée.
Le défunt Ousseynou Claude Diaw était monteur à Walf puis à la Rfm.
La levée du corps est prévue ce lundi à 15 heures à la mosquée de Sacré Cœur 3 derrière la boulangerie jaune suivie de l’enterrement au cimetière de Yoff.
Amical : Le match Sénégal- Brésil confirmé, découvrez les détails !
C’était dans les tuyaux, c’est devenu officiel !
Le Sénégal affronte le Brésil le 20 juin prochain à 20h30 au stade José Alvalade de Lisbonne dans le cadre d’un match amical international.
Pour rappel, les Lions avaient déjà croisé la route des auriverdes le 10 octobre 2019 pour un résultat nul (1-1).
Interpellation et transfert de Sonko à son domicile : L’étonnante réaction de Abdoul Mbow
Abdou Mbow, Président de la Commission des Lois de l’Assemblée nationale, estime que “tous les sénégalais épris de paix et justice devraient magnifier ce geste (Ndlr : l’interpellation de Ousmane et son transfert à Dakar) des Forces de sécurité (FDS), qui participe à stopper cette violence inutile qui nous a déjà coûté des pertes en vies humaines”.
“J’espère que les organisations des Droits de l’homme seront les premières à saluer ce geste des FDS, qui entre sans nul doute, dans le cadre du respect des droits de l’homme”, a ajouté M. Mbow.
Le député de la majorité présidentielle invite, par ailleurs, l’État “à rester ferme et de continuer à faire son travail dans le respect des lois et règlements de notre pays”.
Interpellation de Sonko: 2 pistolets et des munitions saisis, l’identité du trio placé en garde à vue
On en sait un peu plus sur les circonstances de l’interpellation de Ousmane Sonko dans la région de Kaffrine. Selon nos sources, le leader de Pastef a été intercepté par la gendarmerie dans la commune de Ida Mouride située dans le département de Koungheul.
Le maire de Ziguinchor était à bord d’un véhicule de marque Toyota avec le chauffeur M.Guèye, son garde du corps M.Sylla et I.Guèye , membre de la section Pastef de Vélingara.
Ousmane Sonko désarmé par la gendarmerie
Les gendarmes ont retrouvé divers objets dans la voiture de type 4×4. Tous les téléphones portables de Ousmane Sonko et cie ont été saisis ainsi deux pistolets automatiques et des munitions selon des sources de Seneweb.
L’une des deux armes à feu appartient au leader de Pastef. Mais le maire de Ziguinchor disposait d’une autorisation administrative de port d’armes. Malgré tout, son pistolet a été récupéré par les pandores pour les besoins de l’enquête.
Ousmane Sonko a été déposé à son domicile à la cité Keur Gorgui sous bonne escorte. Mais les trois autres personnes susmentionnées ont été mises à la disposition de la compagnie de gendarmerie de Kaolack.
Le trio est actuellement en garde à vue pour les besoins de l’enquête. La Brigade de Recherches ( BR) du Saloum va probablement situer la responsabilité de ces trois personnes.
Seneweb
KOLDA : Témoignages émouvants des proches du défunt Aliou Bodian…
Les témoignages des proches sont unanimes et poignants sur le défunt Aliou Bodian de même que ses amis. Ces derniers le décrivent comme une personne simple, sociale et aimable. Selon le petit frère de son père A. Bodian, Aliou était l’aîné d’une famille qui avait en charge toute sa famille. Il laisse ainsi derrière lui un petit garçon et une veuve. Et d’après la famille, ils attendent la paperasse administrative pour récupérer le corps et l’inhumer .
Actuellement c’est l’émoi et la consternation dans la famille. Quant à sa mère qui elle dit se conformer à la volonté divine. La maison ne désemplit pas car les gens viennent de partout pour présenter leurs condoléances. Et à chaque arrivée, les pleurs fusent et chacun s’interroge sur le décès d’Aliou Bodian.
Hadj Diao, un ami proche avec qui il travaille est inconsolable. « Aliou était un homme de paix, courtois dans le travail. Mais aussi, il avait de bons rapports avec ses parents et ses amis. Et d’habitude, les vendredis on ne travaille pas. Et puis, j’ai demandé après lui, on m’a dit qu’il est sorti. Hier, il avait réparé son vélo et après le repas il est allé accueillir Sonko avec ses amis. C’est là-bas que le malheur est arrivé. Maintenant, mon souci est qui va s’occuper de la famille car ses frères sont encore jeunes. Les uns sont à l’école tandis que les autres apprennent des métiers. »
Son cousin Ousmane Diédhiou, de regretter : « je n’arrive pas à me faire l’idée qu’Aliou Bodian est parti à jamais. C’était un ami, un confident avec qui je partageais beaucoup de choses. Maintenant, il laisse un vide total dans nos vies. »
Les amis d’Aliou Bodian assis à part, les yeux pleins de larmes se posent mille questions. Un d’entre nous a confié qu’il est terrifié depuis l’annonce de la mort de son ami. En ce sens, il estime qu’il n’a pas pu dormir depuis hier . Il dit « avoir les yeux secs » car il n’arrête pas de penser à lui. C’est allé trop vite. D’ailleurs, comme lui, j’aurais pu y passer aussi… »
À cela ajoute son oncle paternel A Bodian, « nous sommes consternés mais nous devons nous remettre au Tout Puissant. Maintenant ce qui reste est se prier pour le repos éternel de son âme. Et que les jeunes puissent prendre exemple de ce malheureux incident pour mieux s’occuper de leurs activités et éviter les problèmes… »
La situation est indescriptible vu l’émotion qui habite la famille et les proches.
Nous y reviendrons…
Avec Dakaractu
Fou Malade recadre Ousmane Sonko : « Je ne suis pas d’accord avec le fait qu’il.. »
Fou Malade s’adresse à Ousmane Sonko. Interpellé sur la déclaration du leader de Pastef envers Adji Sarr, le rappeur a trouvé cette sortie très maladroite.
« Je ne suis pas d’accord avec le fait qu’il traite Adji Sarr de guenon atteinte d’un AVC. C’est très réducteur pour ce qu’il incarne en tant que personne. Et au-delà de tout, toutes ces femmes qui l’aiment et qui ont une silhouette plus généreuse peuvent également souffrir d’être traitées avec de tels mots », juge Fou Malade.
« Pour moi, quand on est responsable, il faut éviter de tels écarts de langage. La cause de tout ceci, c’est qu’il est soumis au diktat de l’opinion, à suivre aveuglément la masse pour simplement plaire. Parfois, il faut savoir s’arrêter. Cela ne fait que propager des commérages futiles. Culturellement, ce n’est pas le propre d’un homme de se laisser entraîner dans de telles choses », termine le chroniqueur sur le plateau de Jakaarlo.
Dialogue national, les cartons d’invitation envoyés (Photo)
Le dialogue nationale va se tenir ce 30 mai. Le protocole a déjà confectionné les cartons d’invitations destinées aux participants de ces échanges entre forces vives de la nation et le chef de l’Etat, Macky Sall.
La mise en place se termine à 15h et la cérémonie débutera à 16h au palais de la république. A rappeler que le dialogue se fera sans la participation de Ousmane Sonko, d’ailleurs, la coalition Yewi a décliné l’invitation du Chef de l’Etat à travers un communiqué.
Parcontre, Khalifa Sall et quelques membres de l’opposition sont attendus.

François H. Guèye : « Notre combat, c’est qu’Adji ait droit à un procès, notre mission est accomplie » (Vidéo)
- La Présidente du Collectif pour la défense des droits d’Adji Sarr a organisé une conférence de presse
- Françoise Hélène a défendu bec et ongles Adji Sarr pour le respect de ses droits face à Ousmane Sonko
- Elle se dit satisfaite que la justice ait accepté de conduire les deux protagonistes en procès
Procès Sonko/Adji Sarr – Le Magistrat Issa Ndiaye alerte : « Je reçois de sérieux menaces de mort »
- Confusion entre le juge El Hadj Issa Ndiaye et le procureur Issa Ndiaye dans l’affaire Sonko/Adji Sarr.
- Le procureur Issa Ndiaye nie toute implication et rappelle l’identité du juge responsable du jugement.
- La confusion porte préjudice au procureur, sa famille étant menacée et ses biens photographiés et partagés sur les réseaux sociaux.
Une grande confusion soit volontaire ou inconsciente a vivement régné après entre le juge El Hadj Issa Ndiaye qui a hérité du jugement l’affaire Ousmane Sonko/ Adji Sarr et autre magistrat, le procureur de la République qui s’appelle Issa Ndiaye.
Dans un communiqué adressé à la presse le procureur Issa Ndiaye, a tenu à préciser qu’il est en rien impliqué dans cette affaire qui oppose Ousmane Sonko à Adji Sarr.
En effet, « une grande confusion règne actuellement sur l’identité du juge qui a statué sur l’affaire Ousmane Sonko/ Adji Sarr », a-t-il préciser. Dans cette précision rendue publique ce vendredi 26, il a rappelé que le juge en question s’appelle El Hadj Issa Ndiaye, à ne pas confondre avec sa personne (procureur Issa Ndiaye).
Cette confusion n’est pas sans conséquence pour lui. « Elle est en train de nous porter préjudice. Ma famille est actuellement menacée par des individus mal intentionnés. Des biens appartenant à ma famille sont photographiés et largement partagés sur les réseaux sociaux, notamment sur le site l’OPS National où des internautes demandent la publication des données de localisation de la boutique ‘’Queen Marie’’ appartenant à mon épouse ». Plus grave, révèle-t-il « ma photo et celles de mon épouse font le tour des réseaux sociaux ».
Pour finir, le magistrat Issa Ndiaye fait savoir : « Je précise que je ne suis, présentement, en activité dans aucune juridiction de jugement. Je suis en position de détachement ».