Entre le Secrétaire général du Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (Saes) section Cesti (Centre d’études des sciences et techniques de l’information) ce n’est plus le parfait amour depuis quelques mois. La directrice du Cesti a remporté la bataille judiciaire qui l’opposait à Moumini Camara.
La section SAES-CESTI se dit très surprise, à travers un communiqué, de la décision du tribunal de relaxer son secrétaire général du délit d’injures publiques, tout en le déclarant coupable de diffamation. Toujours dans le communiqué la section SAES-CESTI dit maintenir «ses accusations à l’encontre de Cousson Traoré».
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Selon elle, «il n’y a jamais eu de délibération du comité pédagogique du CESTI, avant la remise des attestations aux professionnels béninois, le 24 juillet 2019 à Cotonou ». Par conséquent, affirme-t-elle, «les 52 attestations ont été décernées de façon illégale, en violation flagrante des critères pédagogiques prescrits par le décret n° 2010-706 du 10 juin 2010 portant organisation et fonctionnement du CESTI».