Source ne saurait être plus plausible que celle fournie par le père à l’occasion du décès de son fils, Serigne Saliou Amar. C’est un Cheikh Amar, digne dans l’épreuve et les trais tirés qui s’est exprimé pour apporter une cinglante réponse aux différentes interrogations et autres supputations.
. Très stoïque face à l’implacable destin, Cheikh Amar s’en remet à Dieu, sachant compter sur la nombreuse assistance venue lui témoigner leur compassion.
Serigne Saliou Amar est parti et ce qu’on dit ça et là n’est pas conforme à la vérité, il est mort par étouffement ( dafa fate). C’est mon fils et j’ai fait tout ce que je devais faire pour lui en qualité de père et de tuteur. »
Le Djeuwrigne de Khelcom poursuivra en indiquant : « un ainé, chacun souhaite qu’il vous dépasse en longévité mais, tel n’a pas été le cas pour lui. Je retiens des témoignages sur de nombreuses actions inconnues et qu’aujourd’hui, je viens d’apprendre. Des fois, il me demandait de l’argent et je ne savais pas qu’il le remettait à des malades et à des personnes inconnues… »
Cheikh Amar, racontera également, un épisode qui aurait pu lui valoir la mort alors qu’il n’avait que 3 mois, sa maman a été inquiète à tel point que lorsqu’il est arrivé à l’hôpital, n’eut été la diligence, des services d’urgences, il aurait succombé. Donc, si Dieu a fait qu’il vive jusqu’à 23 ans révolus… »
Serigne Saliou Amar, c’est aussi, un engagement citoyen aux côtés de son père, administrateur général de Holding Amar notamment sur la fourniture de véhicules aux collectivités locales du pays. Cheikh Amar de rappeler : « il m’a demandé d’ajouter 1000 dollars de plus de sorte à fournir des véhicules de meilleure qualité. »
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