Limametti.com confession vous raconte l’histoire de Moussa, un enseignant pris au piège par sa logeuse. Lisez jusqu’à la fin de l’histoire.
« La première fois que j’ai quitté le domicile de mes parents pour aller louer un studio dans un quartier voisin, j’ai vécu le calvaire de ma vie. En fait, c’est dans une maison appartenant à une veuve que j’ai trouvé après des semaines de recherche, le studio qui me convient.
La première semaine de cohabitation avec ma logeuse s’est passée sans problèmes. Avec ses airs de femme pieuse, je la prenais comme une grande sœur. Mais ma première surprise avec elle, est qu’après une dizaine de jours de voisinage sans anicroches, je me suis levé un matin pour constater que la maison est privée d’électricité et d’eau.
Une femme malhonnête et pervers
Pire, les agents des sociétés en charge de leur distribution ont débarqué dans la villa et ont emporté les compteurs. Je consens néanmoins, après que la dame m’a expliqué les raisons de cette privation, à lui faire un prêt percevable sur mes loyers, de deux cent mille (200.000) cfa. Si je l’ai fait, c’est par ce qu’elle m’a expliqué qu’elle doit des arriérées causées par un premier locataire qui habitait la maison.
Avec cette femme je n’oublierai jamais le coup qu’elle m’a fait. Les jours passèrent sans que le courant, encore moins l’eau, ne reviennent. Quand je lui en demandais les raisons, elle me donnait des explications tirées par les cheveux. Il a fallu que je me déplace jusqu’à l’agence de la Senelec pour comprendre que ma logeuse ne s’y même pas rendu à fortiori. En effet, une fois que j’ai découvert qu’elle ne me disait pas la vérité, je lui ai réclamé les deux cent mille cfa.
Mais, pour donner la preuve de sa malhonnêteté, elle m’a rétorqué ne rien me devoir. Puisque je n’avais pas pris la précaution de lui faire signer une décharge ou faire la remise devant témoin, elle a déclaré ne me devoir un rond.
elle est venue à deux reprises me réveiller pour me faire des avances.
C’est comme ça j’ai perdu avec cette arnaqueuse, de l’argent que j’ai gagné à la sueur de mon front. Lorsque j’ai voulu récupérer les trois mois d’avance de loyer que je lui avais remis, elle me demanda de patienter. Je suis resté un mois de calvaire sans voir la couleur d’un seul franc de mes sous encaissés.
Et dire Qu’avec cette véreuse ce ne sont pas ces seules couleurs qu’elle m’a fait voir. La semaine qui a précédé mon départ de chez elle, elle est venue à deux reprises me réveiller pour me faire des avances. sa première tentative, j’ai décliné en lui disant qu’avec son âge avancé, je ne peux pas le faire avec elle. sa récidive, elle a voulu me forcer de coucher avec elle, en me menaçant de crier au viol.
Cette nuit-là, c’est avec tact que je suis parvenu à calmer les ardeurs de la dame. Dès que le jours s’est levé, j’ai affrété un taxi pour m’éloigner définitivement d’elle ».