Bignona
Recel et vol de bétail : A la tête d’un vaste réseau, un célèbre rappeur arrêté
M. Diédhiou, conducteur de moto Jakarta et également rappeur est tombé dans les filets de la police du département de Bignona.
Arrêté pour vol de bétail, le rappeur de 30 ans connu dans le sud du pays, était à la tête d’un vaste réseau de receleurs, informe Le Soleil. Il a été déféré et placé sous mandat de dépôt.
Selon le journal, M. Diédhiou, après avoir volé du bétail, dont de petits ruminants, allait à la rencontre de ses « clients », notamment des vendeurs de dibiterie, pour leur proposer les bêtes.
Malheureusement pour lui, les pandores l’ont suivi avant de l’arrêter.
PHOTOS. Bignona : Guy Marius Sagna rend visite à Boubacar Bâ qui a perdu sa main dans les manifestations
“Nous avons rendu visite hier à quelques unes des victimes des récents événements des mois de février et mars et des familles endeuillées de Bignona. Boubacar Bâ, élève en classe de 4e et droitier, qui a perdu sa main droite, est un symbole de résistance. Oui, il résiste à la perte de sa main. J’ai vu sur son cahier ses débuts d’écriture avec sa main gauche. Il a même écrit mon numéro de téléphone avec sa main gauche. Pas mal. Il peut et va améliorer son écriture. Il y a plus d’héroïnes et de héros dans l’ombre que sous les projecteurs. Boubacar Bâ est mon héros. Vous, les Boubacar Bâ, vous êtes mes héroïnes et mes héros.
Merci à vous les Boubacar Bâ. Merci de nous donnez de la force, de nous inspirez…
Nous demandons à l’Etat:
– de prendre en charge totalement les soins des blessés
– d’indemniser les victimes décédées (familles) et les blessés“, a posté Guy Marius Sagna, photos à l’appui.
LIMAMETTI.COM-un deuxième décès a été enregistré à Bignona , il se nomme Famara Goudiaby.
Après Cheikh Ibrahima Coly, un deuxième décès a été enregistré à Bignona en marge des manifestations, révèle Walf. D’après son correspondant sur place, il se nomme Famara Goudiaby.
Bignona: le jeune qui a perdu la vie n’avait que 19 ans
LIMAMETTI.COM- Les manifestations constatées partout a travers le pays contre l’arrestation de Ousmane Sonko ont faits des victimes.| limametti
Les manifestations constatées partout a travers le pays contre l’arrestation de Ousmane Sonko ont faits des victimes. Pour la dernière constatée, il s’agit d’un jeune homme, âgé juste de 19 ans. Selon les informations de Actuel221, il s’appelait Cheikh Coly.
Nous y reviendrons
Manifestations pro-Sonko : Un mort et deux blessés graves à Bignona
Les manifestations contre l’arrestation du leader de Pastef virent à la tragédie à Bignona.
En effet, Cheikh Coly, un des manifestants aurait perdu la vie ce matin.
L’élève aurait succombé à ses blessures sur la route au cours de son évacuation, a-t-on appris de plusieurs sources.
Il y a aussi deux blessés graves évacués à l’hôpital régional de Ziguinchor.
C’est une citation vraisemblablement apocryphe mais elle est généralement attribuée à Jean-Paul Sartre.
Pour maintenir la flamme révolutionnaire chez les ouvriers français qui étaient majoritairement membres du Parti communiste à l’époque, le grand philosophe français aurait eu cette formule passée à la postérité: « Il ne faut pas désespérer Billancourt », cette localité étant le siège historique du fabricant de voitures Renault.
Ce qui se passe avec ce qu’il est convenu d’appeler « l’affaire Sonko-Adji Sarr » est extrêmement grave et ce sera lourd de conséquences sur la stabilité du pays. Évidemment, il est hors de question pour nous de nous prononcer sur la culpabilité ou non du leader du Pastef, accusé de viol par la dame Adji Sarr. Il appartiendra à la justice de trancher la question. Mais justement, que vaut encore, aux yeux d’une grande partie de l’opinion publique, l’image de cette justice dont la crédibilité a été mise à rude épreuve, des événements de 1962 avec le procès Mamadou Dia, en passant par les « affaires »
Idrissa Seck, Karim Wade, Khalifa Sall et aujourd’hui Ousmane Sonko ?
Depuis son accession au pouvoir, le président Macky Sall donne la tenace impression de ne pas souffrir la contradiction et de vouloir, coûte que coûte, « réduire l’opposition à sa plus simple expression », selon sa formule malheureuse.
Ce n’est pas un emprisonnement programmé de Sonko, avec la levée de son immunité parlementaire, sauf retournement de situation extraordinaire, qui va corriger cette perception aujourd’hui largement partagée au Sénégal et à l’étranger. Et qui risque de porter un rude coup à l’image de marque d’un pays longtemps présenté comme un modèle, malgré ses imperfections, avec deux alternances politiques exemplaires. Qu’on le veuille ou non, Ousmane Sonko est aujourd’hui un homme politique majeur, qui draine du monde et qui, sans moyens, s’est classé troisième lors de la dernière présidentielle avec 15% des voix, un exploit rarissime dans les annales.
L’irruption sur la scène politique de cet ancien inspecteur des impôts et domaines est révélatrice d’une mutation sociologique très profonde. Après 60 ans d’une indépendance qui est loin d’avoir tenu ses promesses, une bonne partie de la jeunesse africaine en a plus que marre des satrapes qui ont entravé son développement et maintiennent des liens incesteux avec la Françafrique dont le symbole le plus caricatural, qui alimente un débat parfois hystérique dans les anciennes colonies, reste le franc CFA.
Une jeunesse qui aujourd’hui, sur les réseaux sociaux, redécouvre et réhabilite des figures comme Patrice Lumumba, Thomas Sankara, Cheikh Anta Diop ou Mamadou Dia. Ousmane Sonko a su capter cet électorat et exerce sur lui une fascination réelle. Certes, l’homme est loin d’être sans défauts: ses dérapages sont légion, lui-même et ses ouailles se distinguent souvent par leur allergie à la contradiction, le lynchage médiatique de ceux qui ne partagent pas leur point de vue et sur bien des sujets, par des prises de position à géométrie variable. Mais en dépit de la suffisance et des insuffisances de certains de ses cadres, le Pastef est une bonne nouvelle pour la remuante démocratie sénégalaise dont la captation à son seul profit par un parti hégémonique signerait le certificat de décès.
Plus grave, de par ses origines, Ousmane Sonko représente un symbole très fort dont il serait dangereux de mésestimer la portée. Le département de Bignona dont est originaire son père, a fourni pendant longtemps des contingents entiers de combattants au Mfdc.
Dans le bricolage idéologique qui a servi de vade mecum au mouvement irrédentiste, soufflant sur les braises, l’abbé Diamacoune Senghor et surtout Mamadou Nkrumah Sané ont embarqué des centaines de jeunes dans une aventure sans lendemain, en faisant le procès de «Nordistes» arrogants et accapareurs de terres de la verte Casamance.
Tout n’était pas faux dans ce constat, Diamacoune et Sané ayant simplement donné de très mauvaises réponses à de très bonnes questions. Parmi les jeunes qui avaient répondu à l’appel du maquis, figuraient des collégiens et lycéens comme Salif Sadio, Souhaibou Kamoughe Diatta, Abdou Elinkine Diatta, César Atoute Badiate, pour ne citer que ceux là, tous devenus de redoutables chefs de guerre. Quarante ans après, l’armée sénégalaise continue de faire face à l’une des plus vieilles guérillas au monde avec les Farc. Pourtant, lors de la dernière présidentielle, en tournée en Casamance, Ousmane Sonko tiendra l’un des discours les plus émouvants et responsables de sa jeune carrière, en appelant les indépendantiste à déposer leurs armes et à réintégrer la République.
Arrivé deuxième au Fouta, il est le meilleur symbole aujourd’hui de la cohésion nationale et constitue un démenti cinglant aux thèses séparatistes. Ceux qui veulent à tout prix faire « tomber » Sonko, y compris par des moyens sordides, mesurent-ils la portée de leurs actes? Ne risquent-ils d’apporter de l’eau au moulin des boutefeux qui ne manqueront de dire que, décidément, avec cette « affaire Sonko », après les avoir combattu par les armes, le « Nord » (sic) veut les neutraliser par les urnes? En se rendant dans un salon de massage et en s’obligeant à un difficile exercice de justification, Ousmane Sonko est déjà dans une mauvaise passe et a un genou à terre.
Que gagnerait-on à l’humilier davantage et à radicaliser ses épigones ? Il ne faut pas jouer avec le feu et surtout, il ne faut pas désespérer Bignona.
Bignona en feu : la station Total pris d’assaut, l’armée en renfort
LIMAMETTI.COM -Les manifestions des pro Ousmane Sonko se poursuivent dans la région du Sud de Pays. Les jeunes manifestants ont pris d’assaut la station Total de la région et ont brulé des pneus.
L’armée a été envoyée en renforcer pour calmer manifestants. Voici en résumé, une vidéo des événements
https://www.youtube.com/watch?v=0hMnDA_rKW8&feature=emb_title
Coronavirus – Bignona : 10 Bissau-guinéens se font intercepter
Des individus de nationalité bissau-guinéenne avaient voulu se faufiler en doucement à la frontière du Sénégal pour rejoindre la Guinée-Bissau. Selon Sud Fm, après leur séjour en Gambie, ces personnes, aux volants de motos Jakarta, ont été interceptées dans la commune de Bignona par le comité de vigilance.
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Selon le président du Conseil communal de la Jeunesse de Bignona, Abdou Khadre Gassama, se confiant à la même source, affirme que ces individus étaient à bord de motos-taxis Jakarta. Et, ils ont été finalement identifiés.
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Il informe également qu’ils sont passés au thermoflash afin de vérifier s’ils n’étaient pas infectés au Coronavirus.
Bignona : Un djinn gère le couvre-feu à partir de 18h
À Mampalago, un village situé dans le département de Bignona, le couvre-feu démarre à 18 heures. Les anciens du village ont sollicité le djinn “Fambondy”, le roi des djinns protecteurs des peuples de la Basse-Casamance qui assure la sécurité.
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Pendant que le “Fambondy” opère dans le village, même les “Kankourangs” et les “Kumpos” n’osent pas sortir. Le 29 mars dernier, le djinn a confiné tout le village, durant 24 heures, à cause des jeunes inconscients qui ont tenté de le filmer dans ses œuvres.
Selon Source A qui donne l’information, sa fureur était telle que les repas ont été préparés dans les chambres et les cours des maisons vidées durant 24 heures.
Trois personnes perdent la vie dans un accident à Bignona
Encore un grave accident sur la route de Bignona plus particulièrement sur l’Axe Senoba. Un bus s’est renversé très tôt le matin du dimanche .Selon la RFM ecoutée par limametti.com, le bilan provisoire est très lourd. Trois personnes ont perdu la vie dans cet accident. Limametti y reviendra dans les heures à venir pour plus de développement
Dernière minute- Bignona – Le surveillant général du lycée de Tenghory ôte sa vie dans sa chambre
LIMAMETTI.COM – Le surveillant général du lycée de Tenghory à Bignona s’est donné la mort par pendaison dans sa chambre en fin de soirée de ce vendredi 23 août 19. Marié le défunt était père de plusieurs enfants selon nos confrères de RFM écoutés par limametti.com
Yankhoba Badji, c’est le nom de défunt, est originaire de Sindian, village situé dans le département de Bignona. Porté disparu depuis ce vendredi matin son corps a été retrouvé tard dans la soirée de ce vendredi.
Pour l’heure, on ignore le mobile de son acte. Son corps sans vie à été déposé à la morgue du district sanitaire de Bignona par les sapeurs-pompiers. La gendarmerie a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de son actes.
AUDIO. Bignona : Un bus se renverse et ôte la vie à 4 personnes
LIMAMETTI.COM – A Badiouré, à 12 km de Bignona, un bus s’est renversé causant le rappel à Dieu de 4 personnes avec une cinquantaine de blessés.
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Les premières personnes évacuées ont été acheminées vers l’hôpital régional de Ziguinchor. Ces passagers qui étaient partis célébrer la fête de la Tabaski chez eux, rentraient à Dakar.
https://youtu.be/LQKeoQaPSF0
Bignona: le directeur d’une école retrouvé pendu à un arbre
Un homme, âgé d’environ 45 ans, a été retrouvé pendu à un arbre, dans la forêt situé à proximité de son domicile.
Le drame s’est produit dans le quartier de Tenghory de Bignona, rapporte Enquête. La dépouille a été découverte, hier vers 11 heures, coincée entre le château d’eau et la forêt.
L’homme identifié sous le nom de M. Coly est originaire du village de Dianki. Enseignant, il était directeur d’école dans un village de la zone des palmiers.
Selon des témoignages recueillis par le journal, Coly avait demandé à ses frères résidant à Dianki de venir, car ayant un problème, sans leur expliquer la nature. Malheureusement à leur arrivée, ils ne feront que constater les dégâts. Coly n’a pas eu le temps d’expliquer son geste.