LIMAMETTI.COM- Dip Doundou Guiss a sorti un clip à temps.Au moment où le pays est émaillé de violences politiques, le rappeur a pris sa plume pour dénoncer les agissements de l’Etat.
Niasse
Décès de Seyda Mariama Niass : Voici la déclaration du khalife de Médina Baye
Les minutes très chaudes de la réunion entre Macky, Idy, Niasse et Cie au Palais
LIMAMETTI.COM – La conférence des leaders de Benno Bokk Yakar (Bby) convoquée, hier jeudi, au Palais de la République (Dakar), a eu des invités spéciaux. Idrissa Seck et Oumar Sarr, les nouveaux alliés de Macky Sall, ont été présentés aux responsables de Bby. Les adversaires d’hier se sont expliqués devant leurs alliés d’aujourd’hui.
Comme dans toutes les retrouvailles, Il y a avait de l’émotion, hier jeudi, au Palais de la République. Baignée dans l’ivresse politique de ces dernières semaines provoquée par l’entrisme retentissant de Idrissa Seck, Oumar Sarr & Cie dans la majorité présidentielle, la salle des banquets – rebaptisée du nom de Bruno Diatta, le défunt ministre-chef de protocole des Présidents sénégalais – a soupiré en silence. Quelques moments de «salamalecs», d’accolades, et de petits apartés, avant que le chef de l’Etat et de la majorité lance la conférence des présidents de Benno Bokk Yaakar. Une rencontre qui entre en droite ligne dans l’agenda politique du Président de la République qui, après avoir convoqué une réunion du secrétariat exécutif national (Sen) de son parti, l’Alliance pour la République, se devait de rencontrer ses alliées pour une séance d’explications sur ses décisions prises dernièrement et qui ont suscité des remous jusque dans son camp politique.
Idy et Oumar Sarr à l’honneur
D’emblée, le chef de l’Etat a voulu mettre les choses au clair. Dans son propos introductif, le Président Macky Sall a présenté les leaders du Rewmi Idrissa Seck et le patron du Parti des Libéraux et Démocrates/And Suqali (Pld/As) Omar Sarr, comme ses invités. A l’honneur, Idrissa Seck, Président du Conseil économique, social et environnemental (Cese) s’est exclusivement lancé dans une séance d’explications de son choix de s’impliquer dans la gestion des affaires publiques. De venir prêter mains fortes à son jeune frère, le Président Macky Sall. «Idrissa Seck a servi les mêmes explications que lors de son installation au Conseil économique, social et environnemental», souffle-t-on.
Le Président du Rewmi a encore évoqué le contexte particulier de la maladie à Coronavirus et la stabilité du pays qui l’ont poussé à reléguer ses ambitions personnelles au second plan pour l’agenda du Sénégal par rapport à tous ses défis. Tout comme Idrissa Seck, Oumar Sarr a aussi pris la parole pour parler de la nécessité d’un consensus national qui doit primer sur des contingences partisanes et d’un engagement impératif autour du Sénégal. Leurs explications terminées, Idrissa Seck demande au chef de l’Etat, son nouveau «boss», s’il doit se retirer ou rester. Macky Sall lui dit de rester pour voir comment ils travaillent, au sein de la coalition. Idrissa Seck devient alors un spectateur puisqu’il n’a pas repris la parole jusqu’à la fin de la rencontre aux environs de minuit. Tout le contraire de Omar Sarr qui semble avoir déjà pris ses aises, en intervenant dans le débat sur certaines questions.
Les locales au menu du jour
Comme on pouvait s’y attendre, Bby est d’accord avec le choix de son Président d’élargir la coalition. La Conférence des leaders a salué l’esprit patriotique dont Idy et Omar Sarr ont su faire montre en mettant l’intérêt national au-dessus de toutes autres considérations. Déjà, d’après des informations de L’Observateur, un travail est en train d’être fait pour l’élargissement de la coalition. D’ailleurs, l’on souffle que Benno Bokk Yakaar va évoluer du point de vue organisation avec des nouvelles forces. «Cela a déjà commencé au niveau du secrétariat permanent. Nous allons développer une réflexion sur les réformes», rapporte une source. Qui informe aussi qu’il a été retenu de faire de l’animation au sein coalition en ayant comme priorité le consensus le plus large, dans la perspective des élections locales. Sur cet élan, les représentants de Bby au sein de la commission du dialogue politique ont informé que le recrutement des experts en vue de l’audit du fichier et de l’évaluation du processus électoral a commencé. Mais, la seule certitude pour ces joutes électorales, c’est que techniquement, il n’est pas possible de les organiser au plus tard le 28 mars 2021. Un autre sujet qui tient à cœur le chef de l’Etat a aussi été abordé à cette réunion qui s’est tenue de 19 heures à 00 heure. Un compte-rendu a été fait sur l’initiative pour l’annulation de la dette des pays africains et la Conférence des leaders a, selon des sources, appuyé cela.
Sur un autre registre, la Conférence des leaders a, dans son communiqué, déploré la persistance de la pandémie du Covid-19 qui, ces derniers jours, prend des proportions inquiétantes. Les alliés du chef de l’Etat lui demandent de renforcer le dispositif de contrôle et de suivi des mesures dans les transports, les lieux et établissements publics, etc., afin d’épargner notre nation d’une deuxième vague préjudiciable à son économie.
CODOU BADIANE- L’OBSERVATEUR
( Vidéo ) – Ahmed Khalifa Niasse : « j’irai voir les franc-maçons si je savais où ils se retrouvent »
Ahmed Khalifa Niasse alimente les débats depuis la publication de cette vidéo à travers laquelle il fait des révélations sur l’appartenance de certains grand érudits musulmans à la franc-maçonnerie. Dans la même lancée, il déclare que s’il savait où est-ce que les franc-maçons se retrouvent, il irait à leur rencontre.
Mohamed Koraichi Niass : « En 1968, le Sénégal comptait 95% de musulmans, en 2017…»
Lors d’une cérémonie religieuse tenue chez ses talibés de Guédiawaye, Serigne Mohamed Koraichi Niass, a fait des révélations sur l’évolution du nombre de Musulmans au Sénégal.
Le fils de Cheikh Islam Cheikh Ibrahima Niass dit Baye a soutenu : « en 1968 déjà, le pourcentage des musulmans dans notre pays était de l’ordre de 95% et, le présent Senghor aimait le répéter, à l’époque, dans ses discours. Je suis étonné, aujourd’hui, d’entendre toujours dire que nous sommes 95%. Cela ne peut pas être le statu quo. A ce jour, les musulmans au Sénégal représentent un taux de 98% ».
Le par ailleurs député, membre de la mouvance présidentielle de poursuivre : « Malgré 3 siècles de présence des colons blancs et leur travail d’acculturation et d’assimilation, nous sommes un pays mahométan et cela, est possible grâce au travail de titan de nos grands maîtres soufis. Il est donc de notre devoir de garder intact cet immense héritage ».
« Bien sûr qu’il en est capable (de jouer un rôle important dans l’équipe) », a reconnu Ronald Koeman à l’issue du match contre Bournemouth (2-1).
BON a marqué deux buts, après un autre quelques jours auparavant en coupe. « Il a été l’un des meilleurs joueurs », a insisté le coach des Toffees au sujet de Baye Oumar Niasse, auteur de trois buts en deux sorties. « Il ne m’a pas surpris parce que je le connais…», ajoute-t-il.
Avec le départ de Romelu Lukaku, Everton (14e, 7pts) a acté l’arrivée de Wayne Rooney, Sandro Ramirez (Malaga) et Dominic Calvert-Lewin (Sheffield United). Selon Koeman, c’était une chance pour BON de se retrouver dans l’équipe première.
« Pour le moment, il est inarrêtable et tout le mérite lui revient », félicite le technicien néerlandais.
Il y était et y reste. Moustapha Niasse conserve son fauteuil de président.
Sans surprise, Moustapha Niasse est réélu président de l’Assemblée nationale du Sénégal, répondant ainsi à la volonté du président Macky Sall.
Il rempile à la présidence de cette institution et présidera ainsi aux destinées de cette 13è Législature avec 120 députés qui ont voté en sa faveur.
Assemblée Nationale- Primature : Macky renouvelle sa confiance à niasse et dionne
Moustapha Niasse va rempiler à la tête de l’Assemblée nationale alors que Mahammed Boun Abdallah Dionne continuera de diriger le Gouvernement qui connaîtra néanmoins un réaménagement en profondeur.
Libération est en mesure de révéler que Moustapha Niasse va présider la prochaine Assemblée nationale qui sera installée après les élections législatives. En effet, Macky Sall a totalement renouvelé sa confiance au leader de l’Alliance des forces de progrès (AFP) après avoir mis en garde encore, il y a de cela quelques jours, ses collaborateurs qui seraient tentés de «tirer» sur lui.
Le choix porté encore sur Niasse n’est pas une surprise puisque beaucoup de cadres de l’APR en étaient déjà informés bien avant les Législatives.
Par ailleurs, des rumeurs ont circulé ces derniers jours faisant état d’un probable départ du Premier ministre et tête de liste nationale de Benno Bokk Yaakaar qui aurait demandé à être déchargé de ses fonctions. Il n’en est rien et Mahammed Dionne continuera à diriger le gouvernement qui sera néanmoins réaménagé en profondeur dans les prochains jours.
A vrai dire, le Président Macky Sall compte procéder à plusieurs réformes structurelles qui devraient se traduire par des changements en profondeur. On évoque de plus en plus le regroupement de certains départements ministériels. Ces réformes devraient aussi s’étendre à certaines directions nationales comme la SENELEC qui sera transformée en Holding comme nous l’annoncions. Il va de soi que les résultats issus des élections législatives vont se refléter sur certains de ces changements.
Cheikh Mbacké Guissé (Libération)
Le salaire de Niasse à l’Assemblée dévoilé, en détails
La révélation a été faite par le porte parole de son parti, l’Afp, le Dr Malick Diop, par ailleurs Dg de l’Asepex, pour battre en brèche les rumeurs classant son leader et président de l’Assemblée Nationale dans la catégorie des « salaires hors norme » de l’Etat.
On en apprend que, chaque mois, Moustapha Niasse, perçoit un salaire de 4 millions 500 mille francs CFA. L’essentiel de ce montant est constitué de son indemnité de représentation chiffrée à 3 millions 973 mille 167 francs CFA.
Son solde net est de 527 mille 833 francs CFA. Cette somme représente le solde de la différence entre son salaire brut imposable (600 000 : 400 000 de solde mensuelle indiciaire et 200 000 d’indemnité de fonction) et le total de ses retenues, soit 72 167.
Dans sa note, Dr Malick Diop révèle que le président de l’Assemblée nationale verse la totalité de son salaire « à des mosquées et à des lieux de culte chrétiens, dans la plus grande discrétion ».